CEFRIO : les réseaux sociaux, toujours populaires auprès des adultes québécois

Les réseaux sociaux ne cessent de prendre de l'importance dans le quotidien des internautes québécois, comme l'a constaté le CEFRIO par le biais de l'enquête NETendances où il s'est penché sur la question.

Que ce soit pour s’informer, interagir avec d’autres, relayer, partager ou créer du contenu, 82,2% des internautes québécois utilisent les réseaux sociaux dans le cadre de leur utilisation personnelle. Le revenu et la scolarité auraient peu d’effets sur leur adoption, avec des chiffres oscillant entre 72% et 91%.

Pour 72% des internautes québécois, consulter du contenu demeure leur principale activité, tandis qu’un peu plus de la moitié s’y trouvent pour relayer ou partager du contenu (54%) et interagir avec d’autres utilisateurs (52%). Enfin, seuls 35% des internautes en profite pour créer leur propre contenu.

Si les jeunes sont majoritairement actifs sur les réseaux sociaux de façon quotidienne, c’est à partir de 45 ans que cette tendance bascule. Les 18 à 24 ans s’y connectent tous les jours dans une proportion de 59%. Ce chiffre monte à 60% dans le cas des 25 à 34 ans, pour diminuer à 55% auprès des 35 à 44 ans, et enfin descendre à 38% dans le cas de 45 à 55 ans.

YouTube et Facebook dominent le paysage des plateformes sociales au Québec, en attirant près de 65% des internautes. Ces sites sont suivi de Google+ (35,4%), LinkedIn (15%), Twitter (12,1%) et Pinterest (6%).

Pour avoir une vue d’ensemble sur les activités des internautes québécois en lien avec les réseaux sociaux, consultez le fascicule NETendances 2013 à cet effet, gracieuseté du CEFRIO.

Subscribe To Our Newsletter

Get updates and learn from the best

Articles Récents

Branchez-Vous

Restez informé sur toute L’actualité techno.

Branchez-vous est un producteur québécois de contenu portant sur tout ce qui se rapporte à la technologie, mettant l’accent sur l’actualité, les chroniques d’opinions, les bancs d’essai de produits et des sujets destinés tant aux technophiles qu’au grand public.