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Zuckerberg confirme que Facebook aura une mention «Je n’aime pas»

«Les gens nous demandent un bouton Dislike depuis des années», a-t-il dit. «Nous vous avons enfin entendu et nous travaillons sur cette question et allons livrer quelque chose qui répond aux besoins de la communauté.»

Lors de partage d’articles liés à la récente crise des réfugiés syriens ou un statut concernant la mort d’un proche, il est plutôt inapproprié «d’aimer» ce genre de contenu.

Zuckerberg a expliqué que la raison pour laquelle Facebook a tardé à se pencher sur une telle intégration était la crainte d’adopter un système à la Reddit, où les utilisateurs promeuvent et rétrogradent les contenus.

C’était avant de comprendre que la raison pour laquelle la communauté souhaitait une telle offre était pour avoir le choix d’exprimer un autre sentiment que l’appréciation. Par exemple, lors de partage d’articles liés à la récente crise des réfugiés syriens ou un statut concernant la mort d’un proche, il est plutôt inapproprié «d’aimer» ce genre de contenu. Pourtant, pour l’instant du moins, c’est la seule autre option outre de commenter.

«Ce qu’ils veulent, c’est surtout avoir la capacité d’exprimer de l’empathie», a ajouté Zuckerberg. «C’est étonnamment complexe d’intégrer une interaction qui se veut aussi simple.»

Le raisonnement de Zuckerberg laisse ainsi croire que, contrairement au bouton «J’aime», un bouton «Je n’aime pas» devrait avoir peu ou aucune incidence sur la valeur du contenu aux yeux des algorithmes du réseau social. Reste à savoir maintenant si ce fameux bouton sera présent pour tout type de contenus.

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