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Zuckerberg explique comment Facebook s’attaquera aux fausses nouvelles

Bien qu’il ait nié que la propagation de fausses nouvelles sur Facebook ait eu un impact significatif sur le résultat des récentes élections américaines, Mark Zuckerberg a dévoilé comment son entreprise compte répondre au phénomène.

«Nous ne voulons pas être des arbitres de la vérité nous-mêmes, mais plutôt compter sur notre communauté et nos partenaires de confiance.»

«Les problèmes ici sont complexes, à la fois techniquement et philosophiquement», a-t-il écrit sur son profil Facebook vendredi dernier.

«Nous croyons à donner aux gens une voix, ce qui signifie laisser les gens partager ce qu’ils veulent sans intervenir autant que possible. Nous devons veiller à ne pas décourager le partage d’opinions ou à ne pas restreindre par erreur du contenu authentique. Nous ne voulons pas être des arbitres de la vérité nous-mêmes, mais plutôt compter sur notre communauté et nos partenaires de confiance.»

Zuckerberg n’a toutefois pu s’empêcher de minimiser l’ampleur du phénomène, en réitérant que «le pourcentage de désinformation est relativement bas» sur Facebook. Il a cependant admis qu’il reste encore beaucoup de pain sur la planche pour mieux gérer le phénomène. Voici les diverses mesures que Facebook compte entreprendre pour mieux encadrer le partage de ce type de contenu :

Selon Zuckerberg, certaines de ces idées vont bien fonctionner, tandis que d’autres n’auront sans doute pas les effets escomptés. Il a conclu en soulignant que son entreprise prenait cette affaire au sérieux, et qu’elle s’engage à faire les choses de la bonne façon.

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