Dénoncer n’est pas un «one-way»
Jusqu’ici, je me suis tue. Pas parce que ça ne me touchait pas, mais parce que je me demandais bien quelle pierre j’allais pouvoir ajouter aux fondations de ce mouvement par lequel les femmes, haut et fort, se disent et brisent le silence. Mais, surtout, je n’ai pas osé participer à ce qui est devenu un débat, parce que je n’ai jamais été agressée. Sauf une fois, et ce n’était pas au chalet.