La principale motivation derrière cette attaque semble être une façon de protester contre Google, dont le service de cartographie n’affiche pas le nom Palestine afin d’identifier le territoire revendiqué par le peuple palestinien.

Google a depuis rétabli la façade de son site, qui affichait un message informant le géant de la recherche que le territoire identifié comme étant Israël sur Google Maps se nomme en réalité Palestine. Une capture d’écran affichant la carte géographique accompagnait le message, avec comme libellé  : «Qu’arriverait-il si nous changions le nom de l’État d’Israël pour Palestine sur Google Maps? Ce serait une révolution…»

L’attaque survient quelques mois après que Google ait changé le terme «Région de la Palestine» pour «Palestine» sur la page d’accueil de son service palestinien. L’entreprise californienne a alors déclaré qu’elle souhaitait suivre les traces de l’Organisation des Nations unies (ONU), de la Société pour l’attribution des noms de domaine et des numéros sur Internet (ICANN) et de l’Organisation internationale de normalisation (ISO). Bien que ce changement fût perçu favorablement par l’État de la Palestine, plusieurs ont relevé qu’il n’était pas répercuté sur l’ensemble des autres services de Google, notamment Google Maps.