Mais ne tentez pas de la télécharger sur le champ. Bien que les entreprises américaines ont tendance à d’abord lancer leur application aux États-Unis, Bolt n’est offert qu’en Nouvelle-Zélande, à Singapour et en Afrique du Sud pour l’instant.
À noter que Bolt n’exige pas à celui qui reçoit un message d’envoyer quelque chose afin de «débloquer» la conversation en attente, comme dans le cas de Slingshot.
La raison? Selon les développeurs, ces marchés représentent les endroits où l’on retrouve la plus forte utilisation d’Instagram, des communautés profondément interconnectées, le plus haut taux de pénétration d’Android Ice Cream Sandwich et où l’on parle anglais.
Tel que nous l’avons souligné la semaine dernière, la bannière aperçue par certains utilisateurs d’Instagram faisait effectivement la promotion d’une application de messagerie éphémère. La stratégie peut sembler plutôt étrange lorsque l’on considère que Facebook a également lancé une application ayant la même vocation, Slingshot, le mois dernier.
À première vue, Bolt paraît plutôt similaire à Snapchat, et n’exige pas à celui qui reçoit un message d’envoyer quelque chose afin de «débloquer» la conversation en attente, comme dans le cas de Slingshot.
Pour avoir une meilleure idée du fonctionnement de l’application, nous vous invitons à lire ces premières impressions de Bolt sur The Next Web.