Je suis workaholic, je m’en confesse! Oui, j’ai tendance à être dépendant du travail. Je travaille sans cesse : en écoutant la télé, en mangeant et avant de dormir, et je dors avec mon Blackberry. Pourtant, je n’en souffre pas plus qu’il le faut. Mais ce week-end, j’ai décroché : sans montre ni téléphone, sur le bord de la plage, j’ai lu et j’en ai profité pour prendre un peu de couleur (et j’en avais grandement besoin!). Comme par hasard, hier, Dumb Little Man publiait 39 trucs pour vivre. Parmi les trucs mentionnés, j’en ai retenu trois susceptibles d’aider le workaholic en vous à décrocher.

Le premier: faites de l’exercice. Le beau temps est là, pourquoi pas faire de la natation? S’entraîner en salle? Pourquoi pas! Soi dit en passant, c’est un excellent moyen de commencer la journée.

Deuxièmement, investissez-vous dans la collectivité. Vous verrez, votre effort vous sera grandement remis. Votre implication ne vous oblige pas à mettre de côté votre nature d’entrepreneur, bien au contraire! J’ai été conseiller pour une entreprise étudiante du mouvement Jeunes Entreprises cette année. Non seulement j’ai pu contribuer à leur apprentissage, j’ai pu rencontrer d’autres conseillers, des gens qui, comme moi, sont passionnés par l’entrepreneuriat, et j’ai moi-même aussi beaucoup des jeunes.

Dernièrement, sortez : pourquoi rester dans votre bureau, surtout ces jours-ci? Depuis quelques semaines, je vais dîner pratiquement chaque midi au Jardin St-Roch, ici à Québec. Prendre l’air, ça fait du bien, et en plus, rien ne m’interdit d’y rester pour travailler; c’est un des nombreux points d’accès Internet sans fil disponibles gratuitement. À Québec, ZAP Québec (pour qui je suis bénévole, d’ailleurs) propose plusieurs bornes, alors qu’à Montréal, c’est Île Sans Fil qui s’en charge.

Allez-y, décrochez quelques heures; ça en vaut la peine!

Plus de trucs dans 39 Ways to Live, and Not Merely Exist… mais attention; c’est à prendre avec un grain de sel!