Samsung offre ses excuses en pleine page de trois importants quotidiens aux États-Unis

Le fabricant sud-coréen promet de poursuivre son enquête sur les problèmes ayant affligé le Galaxy Note 7 jusqu'au bout.

Souhaitant redorer son blason après la saga du Galaxy Note 7, dont la batterie défectueuse a provoqué un nombre d’explosions d’appareils sans précédent, Samsung a acheté une pleine page de publicité dans les éditions du Washington Post, du New York Times et du Wall Street Journal de lundi dernier afin de présenter ses excuses aux consommateurs.

La lettre est signée par Gregory Lee, président et PDG de la branche nord-américaine de Samsung Electronics.

«Un des principes fondamentaux de notre mission est d’offrir [des produits avec] la meilleure sécurité et la meilleure qualité de leur catégorie. Récemment, nous avons manqué à cette promesse. Pour cela, nous sommes profondément désolés», peut-on lire dans cette publicité.

«Nous allons réexaminer tous les aspects de l’appareil, y compris tout le matériel, les logiciels, la fabrication et la structure globale de la batterie. Nous allons agir le plus rapidement possible, mais nous devons prendre le temps nécessaire pour obtenir les bonnes réponses», poursuit Samsung.

La lettre fait également mention des 34 modèles de laveuses défectueuses de sa marque qui ont également fait l’objet d’un rappel plus récemment aux États-Unis (et également au Canada) pour des incidents liés à leur couvercle qui peut se détacher lorsque l’appareil est surchargé.

Vendredi dernier, Samsung a déclaré que près de 85% des Galaxy Note 7 distribués sur le marché nord-américain avaient été récupérés par l’entreprise.

Subscribe To Our Newsletter

Get updates and learn from the best

Articles Récents

Branchez-Vous

Restez informé sur toute L’actualité techno.

Branchez-vous est un producteur québécois de contenu portant sur tout ce qui se rapporte à la technologie, mettant l’accent sur l’actualité, les chroniques d’opinions, les bancs d’essai de produits et des sujets destinés tant aux technophiles qu’au grand public.