Neil Druckmann répond aux critiques sur Intergalactic: The Heretic Prophet

Intergalactic: The Heretic Prophet
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Alors que Intergalactic: The Heretic Prophet – le prochain grand projet de Naughty Dog après The Last of Us – fait face à des critiques prématurées, Neil Druckmann, directeur créatif du studio, a choisi de réagir lors d’un récent épisode du podcast Sacred Symbols. Son message ? Rester fidèle à sa vision, malgré le bruit extérieur.

Critiques ciblées et gestion des réseaux

Depuis la révélation du jeu aux Game Awards 2024, les réactions en ligne se polarisent. Bien que les détails sur Intergalactic soient rares, une partie des critiques se concentre sur Jordan, le personnage principal interprété par l’actrice Tati Gabrielle. Son apparence physique – femme noire aux cheveux rasés – a déclenché des commentaires racistes et misogynes, poussant Naughty Dog à désactiver les commentaires sous la bande-annonce sur YouTube.

Druckmann, préparé à ce genre de tempêtes, a formé Gabrielle pour gérer ces attaques. « Elle a répondu avec sarcasme aux haters sur les réseaux, mais nous savions que cela arriverait », confie-t-il.

La philosophie de Druckmann : ignorer le bruit

Interrogé sur ces polémiques, le créateur reste imperturbable :
« Que pourrais-je ajouter de plus ? Il y a toujours du bruit médiatique. Tiens bon et fais ce en quoi tu crois. C’est ainsi que je veux que mes artistes agissent. »

Un position qui guide Naughty Dog depuis des années, notamment après les controverses de The Last of Us Part II. Pour Intergalactic, le studio mise sur la confidentialité totale pour éviter les fuites..

Un projet mystérieux, des ambitions intactes

Peu d’informations filtrent sur Intergalactic : l’intrigue se déroulerait dans un univers de science-fiction mêlant religion fictive et chasseurs de primes. Druckmann a toutefois confirmé l’implication d’un acteur connu des fans de Marvel, gardé secret pour l’instant.

Malgré les critiques, le studio avance. « Nous ne créerons jamais par compromis », semble dire Druckmann, rappelant que l’audace a toujours défini Naughty Dog – quitte à diviser.

Dans une industrie où les polémiques éclipsent souvent la création, la réponse de Druckmann rappelle une évidence : l’art ne plaît pas à tout le monde. Mais pour lui, le vrai échec serait de renoncer à ses convictions.

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