Alors que la sortie de la Nintendo Switch 2 approche à grands pas, Split Fiction, le jeu coopératif acclamé de Josef Fares et Hazelight Studios, dévoile ses atouts pour la console hybride. Disponible dès le 5 juin 2025 au prix de 49,99 € (identique aux autres plateformes), l’opus promet d’exploiter les nouvelles fonctionnalités de la console, tout en séduisant par son accessibilité.
GameChat et GameShare : la communication au cœur du gameplay
La Switch 2 accueillera Split Fiction avec des fonctionnalités inédites. Le GameChat, intégré à la console, permettra aux joueurs de communiquer par micro lors des sessions en ligne. Un atout crucial pour ce jeu axé sur la coopération entre les deux protagonistes, Zoe et Mio. Les possesseurs de la caméra Nintendo Switch 2 pourront même voir le visage de leur partenaire en temps réel, via une fenêtre incrustée dans l’interface.
Côté local, le GameShare autorisera un joueur à inviter un ami sans fil, même si ce dernier ne possède pas la Switch 2. Une simple connexion locale suffira, y compris avec une Nintendo Switch originale. Cerise sur le gâteau : le cross-play permettra de jouer entre différentes plateformes (PS5, Xbox Series, PC, Switch 2), une première pour un titre Hazelight.
Dans la lignée de It Takes Two, Split Fiction reprend le principe du Pass Ami : un seul joueur doit posséder le jeu pour inviter un ami en ligne. Un système économique, idéal pour des parties improvisées.
Un lancement dans un contexte chargé
Les précommandes s’ouvriront le 24 avril, alors que la Switch 2 affiche un lineup de choc avec Street Fighter VI, Cyberpunk 2077 et Mario Kart World. Josef Fares, connu pour ses expériences narratives audacieuses (A Way Out, It Takes Two), mise sur cette polytechnicité pour séduire autant les nostalgiques que les nouveaux adeptes.
Entre innovations techniques et fidélité à l’esprit coopératif, Split Fiction s’impose comme un titre phare du lancement de la Switch 2. Reste à voir si ces ajouts suffiront à convertir les joueurs solo… ou à consolider la réputation de Fares comme maître du gameplay partagé.